Drôle de monde où l'autre est un ennemi
capable des pires horreurs et faits divers,
et où l'envie et le plaisir y sont vénérés,
peut-on encore y écrire des pamphlets,
des poésies satiriques et autres senryus
sans en rajouter ?
Peut-être si le "je" * est aussi médiocre,
et si le "médiocre" est aussi
un être digne (de compassion).
Peut-être si le senryu n'obéit plus aux règles,
mais les respecte comme ses vieux parents.
*/ Mes "je" tout comme mes "il",
étant évidement ceux du narrateur. :-)))
Bonnes lectures de mes satires.